L’Hérault fait des vagues avec sa forêt sous-marine vieille de plus de 6000 av. J.-C. Elle a été découverte entre Palavas-les-Flots et Carnon. Vestiges du passé qui s’accrochent aux branches invisibles de l’océan, ces reliques végétales ont été datées au Carbone 14. Cette étude a été réalisée par deux laboratoires indépendants. L’un aux États-Unis et l’autre en Pologne. Ils ont été identifiés par une étude xylologique comme étant des chênes caducifoliés, c’est-à-dire à feuilles caduques.
La Méditerranée se « des’chênes »
Peut-être a-t-elle des choses à raconter sur nous, comme par exemple, à quoi ressemblait l’Occitanie avant ?
Gardien d’un trésor d’intérêt mondial, l’Occitanie s’inscrit une fois de plus dans l’histoire. Elle enracine son image, son patrimoine naturel et sa capacité à nous surprendre dans les fonds sous-marins du sud de la France. Les médias se passionnent pour cette incroyable « pêche miraculeuse », ainsi que la presse scientifique. Le très sérieux site futura-sciences met le département de l’Hérault en lumière. France3 également. Tout comme RMC-BFM TV ou encore Sciences et Avenir, Ouest France et le Midi Libre.
Super Hérault !
Par conséquent, le Tourisme culturel et le Tourisme vert (et bleu) récolteront évidemment les fruits de cette médiatisation d’exception. Elle contribue au rayonnement du département de l’Hérault, du Cap d’agde et de Marseillan dans le monde entier. Par ailleurs, d’autres événements permettent de faire briller le territoire languedocien. Citons le projet immobilier Port Marseillan, dont Miguel Espada – enfant du pays – est le principal investisseur.
Ainsi, sur terre, avec ce complexe immobilier de Marseillan, ou dans les océans, avec la Biotech Planctonid (une autre société de Miguel Espada), l’occitane semble bien décidée de faire parler d’elle au-delà de nos frontières et des continents.